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Au fonds, la place de la République |
Vendredi 21 janvier 2011
(Métro Temple – Rue Vieille du Temple)
Certaines émotions résument mieux que d’autres le romantisme exprimé par cette source d’émotions perpétuelle, à savoir Paris.
Par un jour d’hiver, en plein janvier, que ranime un fulgurant rayon de soleil en début d’après-midi : l’entrée du métro Temple bourgeonne d’élégance, comme un jardin devenu fiévreux au printemps, avec ses tiges, balustrades, cartouches (verts) et globes (orangés) caractéristiques de l’Art Nouveau. L’enseigne ovale où est inscrit le si joli mot «métropolitain» éclate d’un jaune vif. Calligraphie, effectivement, nerveuse, raffinée et somme toute très florale.
A l’arrière plan, en partie marquée par des touffes de branches, une statue en bronze domine la place de la République. Elle brandit, de sa main droite, un rameau d’olivier. Voilà un geste qui évoque l’annonce d’un triomphe. La victoire, en somme, d’un jour de printemps anticipé sur le trop rude hiver.
Y. Le H.
Certaines émotions résument mieux que d’autres le romantisme exprimé par cette source d’émotions perpétuelle, à savoir Paris.
Par un jour d’hiver, en plein janvier, que ranime un fulgurant rayon de soleil en début d’après-midi : l’entrée du métro Temple bourgeonne d’élégance, comme un jardin devenu fiévreux au printemps, avec ses tiges, balustrades, cartouches (verts) et globes (orangés) caractéristiques de l’Art Nouveau. L’enseigne ovale où est inscrit le si joli mot «métropolitain» éclate d’un jaune vif. Calligraphie, effectivement, nerveuse, raffinée et somme toute très florale.
A l’arrière plan, en partie marquée par des touffes de branches, une statue en bronze domine la place de la République. Elle brandit, de sa main droite, un rameau d’olivier. Voilà un geste qui évoque l’annonce d’un triomphe. La victoire, en somme, d’un jour de printemps anticipé sur le trop rude hiver.
Y. Le H.